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C’est un constat global sur le littoral aquitain, avec un recul du trait de côte de 5 à 20 mètres depuis les huit tempêtes de l’hiver 2013-2014. De plus, les vagues n’ont pas rapporté de sable l’été suivant comme elles le font normalement.

Avec 4°C de plus, les Alpes pourraient perdre jusqu’à un tiers de ses stations skiables.

La première serre commerciale au monde est née sur un toit à Montréal, mais il existe des projets d’immeubles entièrement végétalisés, qui accueilleraient dans leurs murs des cultures grâce à un éclairage LED et à la brumisation.

Pour s’adapter au manque de végétaux lié à la hausse des températures, certaines espèces (une quarantaine sur 85 étudiées) ont vu leur taille diminuer. Il y a 55 millions d’années, un phénomène similaire s’était produit. La taille des araignées, guêpes, fourmis ou scarabées avait réduit de 50 à 75 % par suite du réchauffement de la Terre de 6 °C en vingt mille ans environ.

Ce n’est pas 100 kilomètres mais bel et bien 1000 kilomètres !

En France, le Bordelais, le Languedoc-Roussillon et la vallée du Rhône seraient les premières concernées, selon cet article, qui affirme qu’entre 1/4 et 3/4 des surfaces des 9 grandes régions viticoles mondiales ne seraient plus adaptées à la viticulture dans une quarantaine d’années. Néanmoins, il semble que cet article sous-évalue la tolérance des cépages aux températures élevées et les stratégies d’adaptation avec de nouvelles variétés.

Ces algues nourrissent le zooplancton (petites crevettes, animaux à coquilles…), qui est ensuite ingéré par les petits poissons, eux-mêmes avalés par de plus gros poissons… Or le phytoplancton tend à disparaître. En effet, le réchauffement climatique augmente la température des eaux de surface, ce qui crée une sorte de barrière à la remontée d’eau froide riche en nutriments, essentiels à l’alimentation du phytoplancton, 1er maillon de la chaîne alimentaire marine.

Le saumon, le bar ou encore le thon sont carnivores. Afin de nourrir ces espèces en élevage, il faut alors pêcher d’autres poissons. Autre chiffre éloquent : environ 5 kg de poissons sauvages sont nécessaires à la production d’1 kg de poissons d’élevage.

Des insectes dans notre assiette de demain : c’est la piste envisagée par de nombreux chercheurs afin de répondre aux besoins alimentaires futurs. Apport de protéines, coût d’élevage plus faible que celui des bovins, faible consommation d’eau et faible empreinte carbone pour la plupart : les insectes semblent avoir tout pour eux et pourraient constituer la base de notre alimentation d’ici quelques années.

Conséquence : le grain de blé est atrophié, on appelle cela l’échaudage. Le poids des grains par épi diminue donc et les grains eux-mêmes perdent en qualité.

C’est une information publiée dans un rapport de l’Organisation Météorologique Mondiale et du Programme des Nations Unies pour l’Environnement en 2014. Cette reconstitution est due à l’interdiction des chlorofluorocarbones depuis le protocole de Montréal signé en 1987 et… aux gaz à effet de serre, qui ont aussi pour effet de refroidir l’atmosphère à très haute altitude.

Bien au contraire, la chaleur et la pollution pourraient faire croître les cas d’asthme et d’allergies. En augmentation également : les cataractes, les rhinites et les conjonctivites.

80% du territoire de ces îles tropicales se trouvent à seulement 1 mètre au-dessus du niveau de la mer. Cet archipel de l’océan Indien devrait disparaître d’ici la fin du XXIe siècle…

Utiliser des transports plus lents tels que le paquebot ou le train afin d’éviter l’avion ou la voiture et leurs forts impacts sur l’environnement est l’un des critères du « slow tourism ». La destination n’est plus seulement le but : le voyage en lui-même fait partie intégrante des vacances.

L’étude visait à montrer que la fabrication de ce produit impliquait plus de 1 000 km de transport avant sa mise en place au supermarché. Soit plus de 400 litres de gasoil !

Ils sont responsables de 32 % des émissions de gaz à effet de serre en France, dont 92 % dues à la route. L’agriculture contribue quant à elle pour 25 % environ aux émissions de GES.

Les routes pourraient, grâce à des modules agençables et modulables selon les saisons, être blanches en été et noires en hiver, renvoyant des infrarouges la nuit.

A noter que les habitants des villes rejettent globalement 2 à 3 fois plus de déchets que les populations rurales en raison notamment de leur forte consommation de produits emballés.

En Europe du Nord, on a récemment enregistré des suppléments de production de 25 % pour la betterave sucrière en Irlande et de 12 % pour le colza en Finlande.

Les vacances seraient moins lointaines, les villes plus denses et plus verticales. Concernant la circulation en voiture, la piste envisagée n’est pas de la supprimer, ce qui serait radical, mais plutôt d’utiliser des voitures moins polluantes, louées ou partagées.